Livre d’Or

N’hésitez pas à m’envoyer vos témoignages, merci !

Gestion du tabac

A 10 cigarettes par jour et parfois plus, je sentais qu’il était temps d’arrêter. Tout en ayant la volonté, je ne savais pas du tout comment procéder, jusqu’au jour où une de mes tantes m’a vanté les compétences de Sophie pour en avoir observé l’efficacité radicale sur son entourage.
Pourquoi pas ? me suis-je dit.
A l’écoute et apaisante, Sophie m’a fait travailler selon la technique des mouvements oculaires via video Skype, et le résultat a été sans appel : dès le lendemain, je n’ai quasiment plus touché à la cigarette (dégoûtée au bout de 2 bouffées)…puis les jours ont passé sans que je n’éprouve ni vertige, ni fringale, ou tout autre symptôme habituellement attribué à l’arrêt du tabac.
Aujourd’hui je vis sereinement ma vie sans tabac, et s’il m’arrive encore de reprendre une cigarette de temps en temps, je ne peux jamais la fumer en entier !
Merci Sophie pour ce bienfait !

Violaine

Hernie discale

A la suite d’une hernie discale prononcée, j’ai été hospitalisée dans un centre spécialisé en rhumatologie sur Grenoble. Je pouvais difficilement me mouvoir, avec beaucoup de douleurs. Je perdais de plus en plus le moral, me demandant si je n’allais pas rester handicapée.
J’ai été plusieurs semaines sous cortisone et comme rien n’évoluait j’ai été traitée par morphine. Sans amélioration, il allait falloir envisager une opération.
C’est alors que Sophie est intervenue par téléphone en me disant que l’important, dans un premier temps, était que je me rétablisse suffisamment pour sortir de l’hôpital. Ensuite nous finirions le travail par Skype.
A ce jour je me déplace librement et ai pu reprendre mes ballades en montagne !
Je remercie Sophie du fond du cœur pour son grand apport dans l’amélioration significative de ma santé.

Irène

Le deuil d’un être cher

Il y a 13 ans, je perdais ma fille unique qui se suicidait à Chicago. Elle vivait là-bas.

Je fus prise en charge immédiatement par des psychiatres et mon médecin traitant. Pendant toutes ces années j’ai du prendre des antidépresseurs et des anxiolytiques. Au fur et à mesure du temps, j’allais un peu mieux, mais jamais bien. Chaque année, aux dates anniversaires qui pour moi étaient dans le mois de février (ma fille se suicidait dans la nuit du 2 au 3, nous l’apprenions le 5, le 14, jour de la St Valentin, notre gendre déposait dans mes mains les cendres de mon enfant et le 28 est le jour de son anniversaire) j’étais frappée de douleurs très violentes que je ne pouvais ni prévoir ni contrôler. Je me retrouvais à l’hôpital avec 21 de tension et des vomissements incoercibles, si ça n’était pas cela, c’était quelque chose d’approchant. Cette année, comme toutes les autres, j’appréhendais les dates de ce mois maudit.

Puis, « par hasard »… au supermarché, je rencontrais Sophie, qui vint spontanément à ma rencontre pour m’aider à saisir un pack qui était trop haut pour moi. Je la remerciais naturellement, et à la minute même une magie s’opéra. Je lui expliquais qu’avec mon âge avancé mon corps ne suivait plus ma volonté, que physiquement je me sentais amoindrie et tout en parlant, j’abordais la raison principale de ma difficulté à être : 13 ans plus tôt j’avais perdu ma fille et pour moi, c’était toujours « hier ». A cet instant précis, elle m’expliqua que ça ne devrait plus être vécu de cette façon, les choses passées devaient prendre leur place dans le passé et non pas polluer le présent, que c’était une souffrance inutile et supplémentaire, que si je le désirais, je pouvais la consulter pour une séance de mouvements oculaires. Ce que je fis en décembre pour avoir toutes les chances de passer ce mois tant redouté.

La première séance m’aida à régler un autre problème affectif pesant et récurent. Suite à un courrier que je lui adressais pour la tenir informée de mon évolution, elle comprit immédiatement que je traînais toujours une culpabilité suite au suicide de ma fille et me proposa de la rencontrer à nouveau. Ce que je fis en janvier.
Cette fois-ci, ce fut un véritable nettoyage en profondeur, une grande délivrance et je pus repartir de chez elle, légère et en accord avec mes sentiments désormais, limpides. Je pouvais maintenant, aborder avec du recul, tout ce que j’avais vécu à l’annonce de ce drame. Je suis allée longtemps en psychothérapie, mais il y avait des traces, des souvenirs profonds que je n’avais pas pu évacuer et c’est avec la méthode qu’a employé Sophie, que j’ai pu être libérée de ce boulet qui empoisonnait littéralement mon existence.

Pour la première fois depuis ce séisme, j’ai pu vivre toutes ces dates d’une manière apaisée, sans mauvaise conscience, sans doutes et en acceptant pleinement le choix de mon enfant qui était de quitter cette vie qu’elle n’arrivait pas à aimer pour de multiples raisons.
C’est une expérience vraiment enrichissante. Je me suis rendue chez Sophie, confiante et sans à priori, mais j’étais curieuse de savoir ce que j’allais ressentir et comment un balayage oculaire pourrait arriver à bout de ce qui avait été un échec en psychothérapie et je dis : oui c’est une méthode sérieuse et efficace et je remercie les forces qui ont créé notre rencontre.

Françoise

Mon agoraphobie

J’ai décidé de consulter Sophie dans le but de guérir mon agoraphobie et les crises d’angoisse qui en découlaient. Malgré plusieurs mois de thérapie, cette peur de sortir de mon domicile et de côtoyer le monde extérieur ne cessait de grandir et de me provoquer toutes sortes de malaises psychiques (angoisse, perte de confiance, enfermement…) et physiques (maux de ventre, douleurs aux cervicales).

Nous avons commencé un travail sur mes malaises actuels et avons fait plusieurs séances de mouvements oculaires, défaisant au fur et à mesure les évènements reliés à ma problématique.
A ma grande stupéfaction, une de mes vies antérieures est également apparue lors d’une séance. Je me suis vue à l’époque du Far West en homme et vêtu d’une tenue rayée de prisonnier, boulet au pied ! J’ai fini par comprendre que j’avais été emprisonné pour avoir commis des délits par amour. Empoisonné par des codétenus, j’étais mort dans ma cellule dans d’atroces souffrances sans l’aide de personne. Sophie a réussi à mettre en lumière les leçons à tirer de cette expérience et l’impact sur ma vie actuelle (peur de l’autre, difficultés dans ma vie amoureuse, cause de mes douleurs abdominales).

Depuis, j’ai réussi à reprendre une vie normale, à sortir et me refaire un cercle d’amis. Mes douleurs physiques ont elles aussi quasiment disparues, ainsi que mes grincements de dents la nuit.
Sophie est dotée d’un grand professionnalisme et de dons certains. Je recommande vivement ses services à ceux qui se trouvent dans une impasse.

Alison

Choc émotionnel non digéré

Il y a maintenant un an, j’ai reçu un appel de ma sœur, m’expliquant que notre mère est à l’hôpital dans un état très critique, qu’elle n’arrive plus à boire, ni manger depuis plusieurs semaines. Elle souffre de déshydratation ainsi que de malnutrition et qu’elle a perdu énormément de poids. Je ne cache pas ma surprise car je ne comprends pas qu’une simple gastroentérite (diagnostiquée par le médecin traitant) puisse dégénérer à ce point.
Je décide donc de sauter dans le premier avion pour Cannes.
Une fois arrivée, je me rends immédiatement à l’hôpital. A mon grand étonnement, ma mère se trouve dans le service gynécologie, ce qui ne me semble pas très cohérent avec le problème annoncé par ma sœur.
J’arrive enfin dans la chambre de ma mère et constate son état catastrophique, perfusée de partout, très amaigrie et fatiguée.
Très heureuse de me voir, elle m’explique que les médecins s’occupent bien d’elle, qu’ils ont fait beaucoup d’examens tels que des analyses de sang, d’urine, IRM, scanner, échographie etc.… mais qu’elle ne sait toujours pas ce qu’elle a et qu’elle n’arrive toujours pas à manger ni boire. Les deux jours suivants, j’essaie en vain de rencontrer ses médecins donc pas moyens d’avoir plus d’infos.
Le troisième jour, j’arrive à l’hôpital, la personne de l’accueil m’annonce son transfert dans un autre service, elle se trouve à présent au troisième étage. Une fois au bon étage, je me rends compte qu’il y a différents services selon les couloirs. J’empreinte donc celui du service de Médecine Générale qui me semblait plus logique étant donné mes infos. Or, je ne trouve pas sa chambre et je suis donc obligée de me rendre à l’évidence en me rendant dans l’autre couloir qui affichait le service Oncologie.
Quelques instants plus tard, nous recevons la visite de cinq médecins. Ils nous disent qu’ils sont là pour informer ma mère de leur conclusion et me demande de quitter la chambre.
Ma mère réagit sur l’instant, leur précisant qu’elle souhaite vivement que je sois présente car je suis plus à même de comprendre les termes médicaux compliqués.
Sans prendre de gants ils nous exposent leur diagnostic ainsi que la marche à suivre pour espérer une guérison.
En résumé, il s’agit d’un cancer de l’utérus et qui a provoqué une importante inflammation du péritoine, bloquant ainsi le fonctionnement de tout le système digestif.
Ils envisagent, dans un premier temps, une séance de radiothérapie et une ponction du péritoine qui estomperait la pression exercée sur l’estomac.
Ils poursuivraient ensuite par des séances de chimiothérapie mais ils nous annoncent également qu’elle ne pourra quitter l’hôpital que lorsqu’elle sera apte à s’alimenter normalement.
En rentrant ce soir là, un peu choquée, je décide de contacter Sophie afin de lui expliquer la gravité de la situation.
En arrivant à l’hôpital le lendemain, j’explique à ma mère les méthodes de Sophie et lui annonce qu’elle a rendez-vous avec elle par téléphone, je compose donc le numéro et m’éclipse afin de les laisser seules. Sophie m’expliquera par la suite que l’entretien n’a pu durer que 15 mn en raison du va et vient des soignants dans la chambre de ma mère.
Lorsque je remonte dans la chambre, je trouve ma mère très rassurée. Avec calme, elle prend le temps de me raconter sa séance et me dit qu’elle se sent soulagée d’un énorme poids.
Le lendemain, je constate que ma mère a enfin pu prendre un petit déjeuner mais vomit fréquemment du liquide très vert, comme si elle avait bu des litres de sirop de menthe. Le plus étrange c’est que, paradoxalement, elle a gardé ce qu’elle avait mangé et bu le matin même ! Ces vomissements ont duré deux jours, pour un total d’environ trois bons litres.
Je rappelle donc Sophie afin de l’informer de ce phénomène. Elle me rassure immédiatement, m’expliquant qu’elle est ravie car cela prouve que la séance a été bénéfique et efficace et que tout devrait rentrer dans l’ordre.
De leur côté, les médecins, n’ayant pas d’explication à ce soudain phénomène, ont pris la peine de faire analyser ce fameux liquide vert. Le fait est que les résultats d’analyses n’ont absolument rien donné et qu’ils ne savent toujours pas ce que c’était. Ils ont finis par nous dire qu’ils n’avaient aucune explication.
Les jours qui suivirent, ma mère arrivait enfin à avaler de petites quantités d’eau et nourriture. Elle débutât les séances de chimiothérapie et a pu sortir de l’hôpital.
Un an de chimiothérapie et une opération, tout est rentré dans l’ordre, elle est enfin déclarée en phase de rémission.
Tout ce qui lui était resté sur l’estomac suite à un évènement bouleversant a disparu, ce qui lui a permis une guérison rapide et sans douleurs !

Pascale

Syndrome de stress post-traumatique

J’étais pompier et il y a 10 ans je suis intervenu sur l’incendie d’un entrepôt, qui a mal tourné.
Tout s’est effondré sur nous causant la mort d’un de mes collègues et des blessés.
J’en suis ressorti indemne physiquement mais marqué psychologiquement.
Malgré 3 ans de consultation avec un psychothérapeute, des images récurrentes me revenaient tous les jours, 30 à 40 fois par jour.
Je décidais de prendre rendez vous avec Sophie pour une séance de mouvements oculaires.
A la fin, je me suis senti enfin libéré de toutes ces horreurs et depuis j’ai pu reprendre le cours normal de ma vie.

Cette séance fût impressionnante, le résultat extraordinaire et au-delà de toute attente !

 Stéphane

Adolescent mal dans sa peau

 

 

Mon fils de 15 ans se sentait mal à l’aise avec les autres adolescents de son âge. Il manquait de confiance en lui et avait du mal à s’affirmer. Il ressentait une grande peur vis-à-vis des autres. Ses professeurs indiquaient sur les bulletins de note son manque de participation à l’oral en classe.

Cette situation le rendait triste et mal dans sa peau.

Cherchant des solutions naturelles pour son bien-être, nous avons décidé de prendre contact avec Sophie SENSE pour une séance de mouvements oculaires.

Durant le mois qui a suivi cette séance, Théo a changé radicalement. Il a pris confiance en lui, est devenu communicatif avec ses camarades, prend la parole en cours et s’investit dans les associations de son lycée.

Il est maintenant épanoui et heureux de vivre pleinement sa vie d’adolescent.

Patricia

 

Arrêt du tabac

 

Je fumais depuis l’âge de 16 ans, j’en ai plus de 50. Je voulais arrêter de fumer parce que je suis diabétique. J’ai été voir Sophie qui a pratiqué le mouvement oculaire. 

Nous avons remonté des souvenirs lointains et oubliés, notamment celui dela première cigarette. Après 2 heures passées ensemble, je me suis détaché psychologiquement de la cigarette.

Aujourd’hui, il m’arrive parfois de fumer, j’avais dit à Sophie que je voulais garder cette liberté, mais c’est pour le côté convivial. Si je ne fume pas, je ne ressens aucun manque, je me sens beaucoup plus libre face à la cigarette.

François

Burn out

 

D’une nature cartésienne, je suis allé voir Sophie sans conviction mais sans à priori à un moment de ma vie où je me laissais déborder et m’imposait inconsciemment un rythme effréné qui remettait en cause mon équilibre physique, mental et émotionnel.

Grâce à la compétence professionnelle de Sophie et les mouvements oculaires, j’ai pu verbaliser cette suractivité dévastatrice et en une seule séance enrayer le processus.

Merci Sophie!

Eric C.

Phobie des chiens

Il y a presque 20 ans en rentrant chez moi un berger allemand (chien de maitre chien) qui venait de se sauver de chez lui m’a fait une peur bleue. Il ne m’a pas mordu mais a été très agressif, il aboyait, mettait ses pattes sur moi et me bloquait l’entrée de chez moi.
Suite à cet événement, j’ai commencé à me méfier des grands chiens et à être moins à l’aise avec la majorité des petits ou moyens.
Ma peur/méfiance étant, bien entendu, ressentie par les chiens, j’ai par la suite à quelques reprises été paralysée par des chiens qui grognaient face à moi.
Peu à peu, c’est devenu une phobie. C’était vraiment n’importe quoi (une phobie quoi…), je regardais à droite et à gauche en sortant de chez moi pour m’assurer de ne pas croiser un chien, rebroussais chemin si j’en voyais un au loin et même parfois changeais de trottoir alors que le chien était tenu en laisse.
Ne supportant plus d’être ainsi et sachant, de surcroit, que je partais en vacances à un endroit où de nombreux animaux étaient en liberté, je me suis décidée à aller voir Sophie.
Au début de la séance, lorsque Sophie m’a demandé de ressentir à nouveau la peur éprouvée dans ces moments là, j’étais vraiment oppressée. Peu à peu, au cours de la séance, elle a réussi à me libérer de mon angoisse.
Depuis je n’appréhende plus les balades en pleine nature, ne fuis plus les chiens en général et me surprends même à sourire devant certains qui sont vraiment adorables.
Sophie m’a soulagée d’un grand poids et ça fait du bien.
Un grand merci Sophie.

Coralie

R.D.V. : 06 22 71 46 27

Newsletter